Pudhu vellai mazhai
Publié mardi 20 septembre 2005
Dernière modification mardi 20 septembre 2005
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▶ | Kaadhal Rojave |
pudhu vellai mazhai ingu pozhiginradhu
indhak kollai nilaa udal nanaiginradhu
ingu sollaadha idam koodak kulirginradhu
manam soodaana idham thaedi alaiginradhu
Une nouvelle pluie blanche tombe en ce moment
Elle mouille le corps de cette jeune lune
J’ai froid à des endroits qu’on ne peut pas dire
Mon coeur cherche désespérement ta chaleur
nadhiyae neeyaanaal kadal naanae
siru paravai neeyaanaal un vaanam naanae
Si toi tu es une rivière, alors je suis la mer
Si tu es un oiseau, alors je suis ton ciel
pudhu vellai…
nee annaikkinra vaelaiyil uyirp poo vedukkenru malarum
nee parugaadha poadhilae uyirp poo sarugaaga ularum
un pudavai mundhaanai saaindhadhil indha bhoomi pooppooththadhu
idhu kamban paadaadha sindhanai un kaadhoadu yaar sonnadhu
Lorsque tu m’enlaces ma vie fleurirera soudainement
Si tu ne fais pas attention à moi ma vie balancera comme une fleur dans le vent
Lorsque ton saree est tombé à terre et t’as découverte cette terre a fleuri
Ce sont des pensées que même Eros n’a pas chanté, qui te les a chuchotées à l’oreille ?
pudhu vellai…
pen illaadha oorilae adi aan pookaetpadhillai
pen illaadha oorilae kodidhaan pooppooppadhillai
iru kaigal theendaadha penmaiyai un kangal pandhaadudhoa
malar manjam kaanaadha pennilaa en maarboadu vandhaadudhoa
Dans un pays sans femme, les hommes ne demandent pas de fleurs
Dans un pays sans femme, les plantes/drapeaux ne fleurissent pas
Tes yeux s’amusent avec ma féminité que même tes deux mains n’ont pas caressé
Cette Lune que même les plantes n’ont pas vues vient jouer sur ma poitrine